Combien de fois avez-vous été confronté(e) à du harcèlement, au travail ou dans votre vie privée ?
Combien de fois votre enfant a-t-il assisté à des scènes de harcèlement, en primaire, au collège, au lycée… ?
Combien de fois avez-vous été harcelé(e) ?
Combien de fois votre enfant a-t-il été harcelé ?
Toutes ces fois où vous n’avez rien dit, où vous n’avez pas osé, ou vous avez fait semblant d’encaisser, alors que tout bouillait à l’intérieur.
Pas facile de s’opposer quand on n’en a pas l’habitude. Pas facile de dire stop, de poser des limites, de se faire respecter ou de défendre quelqu’un d’autre.
Pas facile et pourtant essentiel.
Parce que, sinon, le burnout guète, les arrêts à répétition, les maladies, et surtout un écœurement vis-à-vis de son existence. Et de l’amertume. Et des regrets.
Si je disposais d’une deuxième vie, clament-ils…
La première étape, c’est de prendre conscience de tout cela, et de bien peser les conséquences.
Ensuite, comprendre pourquoi vous agissez ainsi, pour cesser de vous flageller — « je suis nul(le) » — et commencer un dialogue bienveillant avec vous-même.
Enfin, réaliser tous les bénéfices d’un changement, sans vous attarder sur les craintes.
Je vous propose de renforcer votre confiance personnelle et professionnelle, et de la transmettre également à vos enfants. Si vous n’apprenez pas à marquer votre territoire, s’ils n’apprennent pas à dire non, qui le fera ?